Le CDC annonce que les kits de test pour les coronavirus ne fonctionnent pas

Voici une traduction DeepL de l’article de Jon Rappoport « CDC announces test kits for coronavirus don’t work » (publié sur son blog le 12 février 2020).

Le New York Times, le Miami Herald, la NBC et d’autres médias rapportent la nouvelle.

Le Herald : « Le CDC a envoyé de nouveaux kits de dépistage des coronavirus en Floride. Ils pourraient ne pas fonctionner ». (12 février 2020) :

Les centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont déclaré mercredi matin que les problèmes liés aux tests que l’agence a développés pour les maladies respiratoires se propageant rapidement en Chine ont fait surface après avoir été envoyés aux laboratoires d’État… Nancy Messonnier, directrice du Centre national d’immunisation et des maladies respiratoires du CDC, a déclaré que les fonctionnaires fédéraux pensent que le problème provient d’une substance utilisée dans le test qui « ne fonctionnait pas de manière cohérente ». Elle a dit que l’agence fédérale remaniait cet agent pour essayer de corriger le problème.

J’ai une nouvelle. Corriger ces défauts dans le test ne fera aucune différence. Le test, comme je l’ai signalé il y a quelques jours (et, voir aussi ici), ne peut pas fonctionner.

Pourquoi ? Parce que, comme le CDC le mentionne sur son site web, le test est une version de la PCR. Les techniciens prélèvent sur un patient un petit échantillon qui pourrait contenir un virus. Si c’est le cas, la ou les particules virales seraient beaucoup trop petites pour être observées ou analysées. Le test amplifie ensuite l’échantillon à plusieurs reprises – comme on le ferait pour une photographie – jusqu’à ce qu’un virus, s’il est présent, puisse être observé et soi-disant identifié.

Il n’y a qu’une seule faille, et elle est fatale. Le test ne dit rien de fiable sur la façon dont BEAUCOUP de virus se trouve dans le corps du patient. Pourquoi est-ce si important ? Parce que des millions et des millions de virus, qui se répliquent activement dans le corps, sont nécessaires pour commencer à parler du virus à l’origine de la maladie. Quelques vagues particules virales flottant dans l’organisme ne sont pas pertinentes.

Mais les personnes qui font le test, les médecins, les chercheurs et les entreprises qui le vendent évitent un débat franc et ouvert avec des chercheurs INDÉPENDANTS hautement qualifiés. Il est beaucoup plus facile de dire : « La quantité de virus dans l’organisme n’est pas un problème, nous pouvons la mesurer, affaire classée ».

Les patients qui n’ont qu’une infime quantité non importante de ce qui pourrait être un coronavirus vont être étiquetés comme « maladie épidémique ». Ils vont être mis en quarantaine et hospitalisés, ils vont être effrayés et traités avec des médicaments antiviraux toxiques.

La plupart des gens ne se soucient pas de « ces patients mal diagnostiqués ». Ils ne s’intéressent qu’à croire robotiquement le CDC, qui leur dit que les défauts de fabrication actuels des kits de test seront corrigés, et qu’ensuite tout ira bien.

Le médecin leur dit : « Prenez deux ‘Je dois croire les autorités’ avec un verre d’eau avant de vous coucher, et ne m’appelez pas le matin. »

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